5 févr.
La chasse légale sauve la faune
Les opinions divergent à propos des impacts de la chasse sur la conservation de la faune. Des opinions partisanes pointent l’activité du doigt, mais en réalité, la chasse légale sauve la faune, malgré les rumeurs qui créent des divisions. Explications.
Dès le début de l’année 2021, des écologistes rejoignent les anti-chasseurs dans l’intention de pointer du doigt les pratiquants de l’activité cynégétique comme étant des individus cruels et pervers. Contrairement à ce qu'ils voudraient faire croire au grand nombre, la chasse est tout d’abord réglementée. Ensuite, c’est une activité pour tous. Des millions d'Américains la pratiquent.
Les chasseurs : des ardents défenseurs de l’environnement
La science de la faune le prouve : depuis des décennies, la chasse légale contribue efficacement à la préservation de l’environnement. L'exemple le plus évident de cette contribution se reflète à travers les milliards de dollars de taxes accordés aux représentants des États œuvrant pour la conservation de la faune, et ce, depuis l’adoption, en 1937, de la Federal Aid in Wildlife Restoration Act, communément appelée la loi Pittman-Robertson, par le Congrès. Cette loi a permis aux États de récolter du capital destiné à préserver la faune. Une partie, 11 %, provient du droit d'accise fédéral sur les armes de sport, des munitions et du matériel de tir à l'arc. Une autre, 10 %, du droit d'accise sur les armes de poing.
Ces fonds, alloués par le ministère de l'Intérieur aux États sur la base d'une formule, ont toujours été la principale source de financement pour régler les problèmes relatifs à la faune et à leur milieu naturel. Démocrates et républicains sont d'accord sur ce point. Par exemple, des fonds de la Pittman-Robertson Act ont aidé à restaurer les populations de cerfs de la Virginie ainsi que des dindes sauvages. Les chasseurs légaux ont largement contribué au financement des zones de gestion de la faune, sans compter les conseils techniques aux propriétaires fonciers dans le but d’atteindre leurs objectifs pour une meilleure gestion de la faune.
Les chasseurs ne sont pas des braconniers
Malgré ces contributions, les anti-chasseurs continuent de dénigrer les pratiquants de l’activité cynégétique, répandant ainsi la rumeur selon laquelle aucune différence n'existe entre chasseurs et braconniers. Or, le braconnage tue illégalement et sans limite les animaux, et ce, sans aucune forme de réglementation. Le braconnage est susceptible de menacer une espèce entière.
La chasse légale, elle, est réglementée. C’est même un facteur-clé d’une meilleure gestion des populations fauniques pour un écosystème plus sain et mieux protégé. L’activité veille à ce que les espèces ne dépassent pas la capacité de charge de leur habitat. Les quotas cynégétiques sont déjà scientifiquement déterminés par les biologistes de la faune des États fédéraux. Les exigences en matière de permis de chasse et de frais d'utilisation sont strictes. Tout chasseur est tenu à respecter les règles établies, ce qui fait la nette différence entre les chasseurs légaux et les criminels braconniers.
Qu’est-ce qui motivent les chasseurs légaux à préserver la faune ?
Les chasseurs, plutôt que les braconniers, voudront déployer leurs efforts pour préserver la faune, afin que leurs descendants puissent pratiquer à leur tour cette activité qu'ils aiment tant. Les militants anti-chasses particulièrement concernés par la chasse à l'ours, par exemple, doivent comprendre l'immense travail que les chasseurs ont accompli avec les groupes comme le Missouri Department Conservation (MDC) pour contribuer au financement des recherches sur l'ours noir. La Fondation Safari Club International a fourni plus de 100 000 de dollars pour aider le MDC à trouver des moyens visant à rétablir la population d'ours noirs et pour l'aider à élaborer le plan de gestion afférent.
Résultats des efforts déployés pour le rétablissement de la population d’ours noirs
Les résultats ont montré que la population d'ours noirs augmente de 9 % chaque année. On compte 540 à 840 ours seulement dans le Missouri. En 2020, l’État du Missouri a finalisé son plan de gestion de l'ours noir (2020-2030). Ce plan vise plusieurs objectifs, parmi lesquels la mise en œuvre de techniques scientifiques pour prendre de prudentes décisions de gestion de l’espèce, l’élargissement des connaissances sur la population d'ours noirs du Missouri, sans oublier la priorisation de la réduction des conflits entre l’humain et l’ours.
Le cas des loups gris
En ce qui concerne la gestion des populations de loups dans l'ouest des États-Unis, la radiation du loup gris de l'Endangered Species Act (ESA) en 2020 après le rétablissement remarquable de l'espèce dans les 48 États est une victoire emblématique qui témoigne du succès du programme de l'ESA. Ce programme garantit la pérennité de l'espèce après 45 ans de menace d'extinction. Cette décision éclairée était basée sur des recherches scientifiques très appréciées, basées sur des données récentes et sur l’historique de la population de loups gris aux États-Unis.
Une analyse complète par l’US Fish and Wildlife Service a été menée dans le but de réduire les menaces pesant sur l'espèce dans son environnement. Dans la foulée, l’USFWS a expressément remercié les chasseurs pour leur contribution enthousiaste au rebond de l'espèce du loup gris. Les experts du Service prévoient que le loup gris maintiendrait une moyenne constante d'environ 1000 individus dans les montagnes rocheuses du Nord pendant de nombreuses années, même en permettant la chasse à un nombre très réglementé de loups.
Le rétablissement du loup gris, son retrait de la liste et le transfert de la gestion aux représentants de l'État sont largement reconnus comme une réussite dans le cadre de la gestion de la faune. Aurelia Skipwith, directrice récemment retraitée de l’US Fish and Wildlife Service, a affirmé que les derniers jours de son mandat seraient « axés sur des mesures proactives, y compris des partenariats avec des organisations, pour s'assurer que les espèces inscrites prospèrent jusqu'à leur seuil de rétablissement ». Les chasseurs américains espèrent que la direction entrante de l'USFWS sous l'administration Biden partage ce point de vue.
Afin de faire de 2021 une année au cours de laquelle les groupes anti-chasseurs et les chasseurs américains travaillent ensemble pour aider la faune à prospérer dans son milieu naturel, il est important que les militants anti-chasse reconnaissent d'abord que le patrimoine de chasse américain devrait être là pour rester et qu'il a un rôle irremplaçable dans la conservation de l’environnement, notamment de l’habitat naturel des espèces fauniques. Cependant, on craint que les chasseurs continuent à subir des condamnations infondées.
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